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au pays du lion je me promène,
les hyènes domptées se chargent de détendre l'atmosphère,
le sable griffe et chauffe le mortel sans haine,
rouge et incandescent comme le tendre fer,
dévisage des visages, des vies....
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j'ecris tes cris que tu m'avais décris...
cries, plus fort,............ rien ne sort...
et cries...écris......et cries..........cries
et cries...écris......et cries..........cries
et surtout la nuit..ne prends pas peur
cries, écris des cris, décries et cries...
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